Nathalie Lavergne

Terre Natale : des produits de qualité, simples, efficaces et écologiques.

Contenu : Audrey Girard-Miron / Outaouais d’abord

Crédit Photo : Audrey Girard-Miron

Des ingrédients locaux ? Des emballages compostables ou réutilisables et recyclables pour diminuer les déchets ? Des produits simples, doux et hydratants qui sont vraiment efficaces ?

Rassembler toutes ces exigences n’a pas été facile, et c’est pourtant ce qu’a réussi à faire la propriétaire de l’entreprise Terre Natale, Audrey Girard-Miron, pour créer des produits de soins corporels écologiques

Depuis quelques années, cette dernière met toutes ses connaissances en horticulture, en service à la clientèle, en arts et en cuisine au profit de cette aventure entrepreneuriale. Petit fait intéressant : la propriétaire de Terre Natale teste d’ailleurs ses créations dans toutes sortes de conditions météorologiques différentes, dans le but d’offrir des conceptions optimales à ses clientèle : en voyage, en camping, à la maison, à -30 degrés Celsius et à 30 degrés Celsius (c’est ça le Québec !).

Audrey Girard-Miron s’assure en tout temps d’offrir des produits de très haute qualité.

Nous avons posé cinq questions à la propriétaire de Terre Natale, Audrey Girard-Miron, dans le but de découvrir cette magnifique entreprise située à Ripon.

Qu’est-ce qui vous a motivé à lancer votre entreprise?

J’ai lancé mon entreprise en 2017 ; j’entame d’ailleurs ma cinquième année! Auparavant, j’ai oeuvré pendant quatre ans comme horticultrice à temps plein, et sur des fermes maraichères à temps partiel. Ce sont des emplois vraiment vibrants, qui nous permettent d’être en symbiose avec la nature et le climat. Ces emplois sont aussi très durs sur le corps en général. Le froid, l’eau, le soleil et la terre meurtrissent les mains et brûlent la peau et les cheveux.

J’étais donc à la recherche de solutions naturelles pour soigner mes maux et inconforts. C’est alors que m’est venue l’idée de lancer mes propres produits. J’ai alors décidé de suivre un cours d’entrepreneuriat chez Option femme emploi, à Gatineau, pour développer mon projet. Et ensuite que j’ai décidé de lancer cette belle aventure qu’est devenue Terre Natale.

Quasiment cinq ans plus tard, Terre Natale offre une vingtaine de produits différents : barres de savon, baumes, savons à main, savons de castille, déodorant, crème au zinc, poudre pour le corps, sels de bains et hydrolats.

Et par souci de simplicité et de minimalisme, ces produits sont tous multi-usages. Par exemple, un baume à lèvres peut aussi être utilisé à titre de crème à mains, une huile à barbe comme pommade pour les cheveux ou en tant que baume protecteur pour les joues l’hiver, etc.

Les ingrédients que j’utilise sont tous de très grande qualité. La cire d’abeille qui se trouve dans mes produits provient de Ripon et le sapin des savons au sapin vient de Notre-Dame-de-la-Paix. Je n’utilise aucun ingrédient ou parfum synthétique, seulement que des des huiles essentielles, des plantes en poudre et des infusions. Et par ailleurs, les fragrances sont typiquement québécoises : miel, sapin, cèdre, verge d’or, sauge. Nos produits représente un hommage à nos forêts et à nos clairières.

Et vous oeuvrez seule, n’est-ce pas?

Pour l’instant je suis toute seule à assurer la création de produits, chez Terre Natale. Il s’agit d’un emploi à temps partiel. J’ai aussi le bonheur de cuisiner du pain à la Boulangerie Nouvelle-France, à Chénéville.

C’est moi-même qui assure la livraison de cosmétiques auprès de plusieurs commerces de la Petite-Nation dont Veda Balance à Saint-André-Avellin, Chocomotive à Montebello et l’Atelier Seconde Vie à Chénéville, en plus d’être à Ripon tous les samedis.

Durant la période des Fêtes, j’opère un kiosque au Marché de Noël du Vieux-Aylmer. Mon conjoint, Jean-François, assure aussi une présence de temps à autre, au Marché de Ripon ; arrêtez-vous pour le saluer si vous le croisez!

Quel est votre produit préféré ?

Parmi tous mes produits, s’il y en a bien dont je ne peux plus me passer, il s’agit du désodorisant.C’est un produit qui empêche les bactéries de se développer sous les aisselles sans bloquer les pores de peau. Nous règlons donc le problème à la source plutôt que de masquer les odeurs avec des parfums.

Pour les nouveaux utilisateurs, il y a quelques semaines d’adaptation, mais ensuite… plus question de revenir à un produit traditionnel. Et si on oublie de l’appliquer un matin, ce n’est pas la catastrophe !

Avez-vous une anecdote à nous partager ?

Je trouve que le plus difficile, au niveau du service à la clientèle, c’est de convaincre mes clients que je suis sincère à propos de l’efficacité de mes produits.

Plusieurs décennies de ventes sous pression ont rendu les gens méfiants, moi la première ! Et c’est normal, lorsque nous sommes confrontés à de nouveaux produits inconnus et que nous avons nos habitudes de soins depuis des années.

C’est donc bien valorisant et motivant lorsque des clients vantent mes produits à d’autres personnes devant mon étal. Ils me donnent beaucoup de crédibilité et je les remercie du fond du cœur !

Pour plus d’informations sur les produits de Terre Natale ou pour placer une commande, visitez le site web de l’entreprise : Terre Natale – Produits de soins corporels écologiques.

Audrey Girard-Miron, propriétaire

Un chocolat qui fait voyager

Contenu : Outaouais d’abord

Vous connaissez la célèbre citation de l’illustrateur américain John G. Tullius : « neuf personnes sur dix aiment le chocolat; la dixième ment »? S’il y a bien une personne qui pourra vous confirmer la véracité de cette ligne, c’est l’entrepreneur derrière ChocoMotive, Luc Gielen. Maître chocolatier belge, il est arrivé dans la région en 1984 et a grandement contribué depuis à l’essor de l’industrie gastronomique de l’Outaouais, grâce à ses différentes aventures entrepreneuriales.

Ayant terminé des études en pâtisserie en Belgique et des études en cuisine en Savoie, France, le chef a décidé de faire ses valises pour prendre la direction du Canada, plus précisément d’Ottawa-Gatineau. En effet, durant ses études, Luc Gielen avait un collègue de classe originaire de Fredericton qui souhaitait ouvrir un restaurant non loin de la colline parlementaire. Ce sont ces discussions qui ont incité le jeune Belge à s’envoler de l’autre côté de l’Atlantique pour se laisser charmer par l’ancienne ville de Hull. La tête remplie d’idées, il avait en main un visa de travail d’une durée d’un an, loin de se douter qu’il s’installerait en Amérique du Nord pour les quatre prochaines décennies et plus encore.

Après avoir œuvré en tant que chef à la Ferme Columbia et au Club de Golf Royal Ottawa, deux emplois prestigieux, Luc Gielen a ouvert le Sans-Pareil en 1992. Ce restaurant s’est rapidement fait un nom en Outaouais grâce à son menu gastronomique français.

« En visitant le Canada, il y a quasiment 37 ans, j’y ai découvert un certain confort. Je suis également tombé en amour avec l’accueil chaleureux qu’on m’a offert. De plus, j’avais l’opportunité de me lancer en affaires et les outils pour réaliser de nouveaux projets étaient très accessibles. […] Vous savez, en restauration, il est plus agréable de travailler pour soi-même. On peut s’exprimer beaucoup plus et laisser aller notre créativité », a expliqué Luc Gielen.

De fil en aiguille, M. Gielen a eu le privilège d’enseigner l’art culinaire au collège La Cité ainsi qu’au Centre de formation professionnelle Relais de la Lièvre-Seigneurie à Buckingham.

C’est finalement en 2004 que l’entrepreneur a décidé de se lancer dans la confection d’un produit somptueux : le chocolat. Il est allé s’installer dans l’ancienne gare de Montebello pour y lancer ChocoMotive, en compagnie de son partenaire d’affaires, Gaétan Tessier, et maintenant de sa conjointe Mabel Calles, originaire du Venezuela. 

« J’ai toujours été en affaires : je vendais de la crème glacée en France et j’ai eu un casse-croûte en Belgique. Au Québec, j’ai opéré le Sans-Pareil. Cette fois, nous nous sommes lancés dans le chocolat pour fournir les épiceries et les pâtisseries fines de la région. Depuis, M. Tessier a quitté le navire et ma conjointe s’est jointe à moi. Mabel œuvrait déjà dans le domaine de la restauration, au Château Montebello », nous a expliqué M. Gielen.

Ce dernier a d’ailleurs commencé à apprendre le métier de maître chocolatier dès l’âge de seize ans, en Belgique. Il côtoyait alors l’un des plus grands maîtres chocolatiers en devenir de ce monde, soit Jean Galler, œuvrant en Europe, à Dubaï, à Tokyo et même à Québec.

« Jean et moi étions de bons amis. Son père dirigeait une pâtisserie. Je me rappelle que nous descendions au sous-sol avec lui pour travailler le chocolat. C’était fascinant. Vous savez, le chocolat est un produit très très noble. Il est capricieux au niveau technique et est difficile à maîtriser. Il faut le manipuler à une certaine température et à une certaine humidité. C’est un art. Pour ce qui est de Jean, malheureusement, nous nous sommes perdus de vue au fil des ans et avec la distance. »

Petit train va loin

À ses balbutiements, l’entreprise ChocoMotive devait s’établir dans la gare de Masson-Angers, alors qu’à Montebello la Société du Réseau ÉCONOMUSÉE du Québec souhaitait y voir l’ouverture d’une boulangerie. Cependant, le maire de Montebello de l’époque, Jean-Paul Descoeurs, a recruté M. Gielen et M. Tessier qui ont proposé d’y ouvrir une chocolaterie : une idée qui a été reçue avec enthousiasme. 

« Nous avons été chanceux, et ce, depuis nos débuts. Le lieu est très intéressant géographiquement, en plus de nous donner pignon sur rue. En ce qui a trait à l’équipement, nous avons eu beaucoup d’aide. Formidérable nous ont donné du matériel, Fidélice nous ont avancé une tempéreuse. La production de chocolat ne nécessite pas beaucoup d’équipement. C’est plus simple qu’on le pense. Nous avons même eu de l’aide de notre fournisseur de cacao, La Siembra d’Ottawa, qui nous a donné 800 kilos », a ajouté le maître chocolatier.

Aujourd’hui, les produits de ChocoMotive peuvent être trouvés à Saint-Jérôme, à Montréal et en Outaouais. 

Certifié équitable

ChocoMotive offre des produits cent pour cent équitables. Il est important pour Luc Gielen de préciser ce fait, car ce sont majoritairement des pays en développement qui se spécialisent dans les cultures agricoles du cacao destinées à l’exportation. Le commerce équitable permet donc aux cultivateurs de cacao et de sucre de toucher une plus grande part des profits. 

« Vous savez, la culture du chocolat, ou disons du cacao, comme de nombreux produits fins mène malheureusement au trafic d’enfants », explique M. Gielen. « Que ce soit au Ghana, au Mali ou en Côte d’Ivoire, des enfants sont enlevés pour travailler de force dans des cultures de cacao. Radio-Canada a d’ailleurs produit un documentaire à ce sujet et je vous invite à le regarder; celui-ci se nomme Le côté obscur du chocolat. »

Pour le maître chocolatier, il est important de contribuer du mieux qu’il peut pour stopper cet esclavage.

À l’internationale

Au cours de sa carrière, M. Gielen a eu la chance de voyager à de nombreuses reprises pour enseigner la confection du chocolat. Il a d’ailleurs représenté le Canada au Salon international du cacao à Lima au Pérou. 

« J’ai donné des formations dans des coopératives avec Uniterra. J’ai aussi aidé des producteurs d’Amazonie à transformer leurs produits en biscuits, en brownies et en tartinades. J’ai également visité Haïti pour enseigner la transformation de la fève de cacao, son séchage, sa fermentation et sa torréfaction, tout comme la standardisation de produits. »

Une diversité florissante de produits

Depuis maintenant plus de trente ans, Luc Gielen se bat pour mettre l’Outaouais à l’avant-scène de l’industrie gastronomique québécoise. Selon le maître chocolatier, la région à la chance de miser sur de magnifiques produits qui gagnent à être connus.

« On pense souvent qu’à part Montréal, il n’y a rien d’autre qui existe au Québec. C’est faux. J’ai longuement collaboré avec Tourisme Outaouais et nous avons, sur notre territoire, de magnifiques entreprises de restauration. Notre région est belle, vallonnée, les paysages y sont splendides. On y trouve tout ce dont on a besoin, que ce soit en alimentation ou en culture. Vous savez, quand je suis arrivé ici, il n’y existait que trois fromages : le jaune, le blanc et le marbré. Le menu de l’Outaouais s’est rapidement diversifié et je crois que la mondialisation nous a grandement aidés », ajoute-t-il.

Âgé de 65 ans, Luc Gielen commence à songer à la retraite, avec un sourire dans la voix.

« Il y a de la relève à l’interne, mais je ne suis quand même pas pressé. J’adore toujours mon travail et je suis toujours passionné. Je souhaite également que le transfert d’entreprise se fasse dans les règles de l’art, lorsque nous y serons. Je souhaite passer le flambeau à quelqu’un qui a la même vision que moi… quelqu’un qui souhaite que la confection demeure artisanale. »

Lorsque vous visiterez ChocoMotive — car c’est un endroit à ne pas manquer — vous devez absolument goûter La Manon, que Luc Gielen recommande fortement. Il s’agit d’une praline classique de Belgique, confectionnée avec une base de pâte d’amandes, de la crème au beurre, une pacane rôtie et le tout enrobé de chocolat blanc. Si la simple description de cette confection vous donne l’eau à la bouche, vous voudrez certainement goûter à tous les produits du maître chocolatier. Ils sont aussi délicieux les uns que les autres.

L’équipe d’Outaouais d’abord vous invite à découvrir ChocoMotive, l’entreprise du mois de novembre du programme Fiers partenaires locaux, présenté par Service Sinistre Outaouais et le 104,7 Outaouais

Acheter local, par où commencer ?

Contenu : Outaouais d’abord

Quand on pense local, on imagine souvent des produits artisanaux. Par exemple, un vase en verre soufflé, un foulard tissé à la main ou encore un savon ou une bombe de bain fabriqués de manière artisanale. 

Acheter local, c’est aussi prioriser l’achat d’une paire de jeans dans une boutique québécoise plutôt que dans une grande chaîne américaine. C’est s’assurer que nos chandelles, savons et produits de beauté sont créés ici. Chaque petit geste compte!

Alors, par où commencer ?

Afin de soutenir l’économie locale davantage, voici une liste d’initiatives intéressantes :

  •  Aliments du Québec
    Évidemment, un bon départ serait de s’assurer de choisir les produits portant le logo Aliments du Québec lorsqu’on fait l’épicerie. Tous produits certifiés du logo Aliments du Québec permettent d’encourager directement nos cultivateurs et éleveurs d’ici.
  • Panier Bleu
    Depuis avril 2020 existe Le Panier Bleu, une plateforme soutenue par le gouvernement du Québec et regroupant différents produits et commerces locaux. Ce site permet de rechercher les entreprises locales de notre région, afin de bien s’informer avant de faire notre magasinage en ligne.
  • Signé Local
    Lancé en 2015, Signé Local est le premier répertoire québécois à avoir vu le jour sur le web. Aujourd’hui, le site regroupe plus de 450 créateurs du Québec.
  • Achatloco
    Achatloco est une initiative locale, portée par des entrepreneurs d’ici, qui offre la possibilité d’acheter divers produits locaux en ligne. Les entreprises inscrites au répertoire sont des entreprises de la région.

( crédit photo: Tovar Images )

  • Place des marchands et artisans de l’Outaouais

Le groupe Place des marchands et artisans de l’Outaouais offre une belle plateforme et une grande visibilité aux marchands et artisans de la région. On y trouve de tout ! Ébénistes, vêtements, douceurs et friandises, soins pour le corps et les mains, et plus encore.

  • Défi 100 % local

Défi 100 % local propose des défis pour encourager la communauté à manger localement pendant le mois de septembre. Un site a également été développé : defijemangelocal.ca, et offre des articles et recettes propres à chaque région.

En plus d’acheter local, comment est-ce que je peux encourager les entreprises de ma région ?

  • Abonnez-vous à la page Facebook de l’entreprise ;
  • Vous avez vécu une belle expérience ? Partagez vos éloges sur les réseaux sociaux en identifiant l’entreprise concernée ;
  • Aimez, commentez et partagez les publications de celle-ci ;
  • Évaluez l’entreprise ☺ Donnez vos étoiles et partagez votre expérience ;
  • Utilisez le #outaouaisdabord dans vos publications.

#LOCAL

Acheter local, c’est un bon geste pour le commerce de proximité et pour nous tous.

#ÉCOLOGIQUE

Acheter local, c’est bon pour la planète. Contribuez à créer un monde meilleur pour demain.

#RESPECTUEUX

Acheter local, c’est aider les marchands qui nous entourent

Finalement, l’achat n’a que de nombreux bienfaits. La prochaine fois que vous choisirez une boutique pour votre magasinage ou que vous passerez à la caisse pour acheter un certain produit, demandez-vous la question suivante : existe-t-il une alternative locale?

Pero : une touche de couleur dans votre quotidien

Contenu : Camille Labonté
Crédit photo : Camille Labonté

Avec ses créations uniques peintes à la main, Pero s’est donné pour mission d’ajouter de la couleur et du bonheur dans votre quotidien. Cette entreprise familiale de l’Outaouais mérite d’être connue à travers le Québec, et ce, pour de multiples raisons.

Des créations uniques et originales

En naviguant sur le site web de l’entreprise, vous découvrirez un vaste choix de créations originales. Que vous soyez à la recherche de bouteilles d’eau en verre et en acier, de tasses à café, de verres à vin, de huiliers ou de beurriers, en passant par des assiettes, des bols à soupe et des pompes à savon — vous y trouverez certainement un produit qui vous plaira. Plus d’une vingtaine de collections sont proposées parmi lesquelles figurent de magnifiques tournesols, des cactus, le monde botanique, la classique Westfalia et plus encore.

 Chaque pièce est peinte à la main avec un souci du détail incomparable.

Et si vous avez un coup de cœur pour un certain produit lors de votre visite en ligne ou sur Etsy, ne tardez pas à passer à l’action, car les créations sont toujours offertes en quantités limitées.

Des idées cadeaux pour toutes les occasions

Les produits créés par Pero constituent d’excellentes idées de cadeaux pour de nombreux moments à décorer de couleurs : 

·       Fête des Mères

·       Cadeau de mariage

·       Départ à la retraite

·       Cadeau de professeur

·       Cadeau d’hôtesse

·       Anniversaire

·       Remerciement

·   Noël

Un concept génial : et ces cadeaux peuvent se compléter au fil du temps ! Vous êtes invité chez des amis et souhaitez leur offrir un duo de verres isolants? Lors d’une visite future, offrez leur un huilier ou un beurrier du même design. Parmi les combinaison les plus populaires, l’équipe de Pero mentionne l’accord tasse-théière, l’assiette de service et le bol à soupe ou encore la pompe à savon pour la salle de bain et le verre à eau décoré du même motif.

L’équipe de Pero offre également la personnalisation de pièces de votre choix pour ainsi rendre votre cadeau unique. Ajoutez-y votre nom, une citation, une date ou un message qui rappelle de magnifiques souvenirs.

Une collection écologique

Le souci écologique est un autre aspect de cette entreprise qui plait à de nombreux. En effet, toute une sélection de produits a été créée dans le but de réduire les déchets des consommateurs. Le saviez-vous… en vous procurant une tasse réutilisable, vous évitez les tasses jetables et vous pouvez bénéficier de rabais chez certains commerçants? Des bouteilles d’eau vous sont également proposées, dont certaines sont isolantes, conservant ainsi la température de votre boisson pendant des heures.

Prendre son temps avec le #momentpero

L’entreprise Pero derrière de magnifiques créations vous pousse d’ailleurs à prendre du temps pour vous-même, et ce à chaque jour.

Que ce soit en lisant votre magazine favori avec une tasse de café, en profitant d’un verre de vin autour d’un bon repas ou en partant pour l’entraînement avec votre bouteille d’eau, vous êtes poussé à prioriser votre bien-être.

Enfin, si vous désirez être au courant des nouveautés, des promotions, des événements et des exclusivités de l’entreprise Pero, nous vous invitons à vous abonner à l’infolettre Les Nouvelles colorées de Pero.

Vous obtiendrez également la personnalisation gratuite de votre premier achat (d’une valeur de 10 $).

Nous vous invitons également à suivre Pero sur les réseaux sociaux :

Vaisselle Peinte à la Main | Porcelaine et Verre | Pero (pero-qc.com)

(2) Pero | Facebook

Pero (@peroparsophieperreault) • Photos et vidéos Instagram

Qui est Pero?

Sophie Perreault est une artiste colorée et authentique. Son entreprise est au centre de sa passion depuis maintenant plus de 10 ans. Son aventure créative a débuté alors qu’elle oeuvrait en tant que designer d’intérieur… une multi-potentiel du fait main.

La mission: apporter de la couleur et du bonheur dans votre quotidien. Un vent de fraîcheur pour débuter votre journée. Grâce à Pero, c’est fini la vaisselle ordinaire et sans vie. Les repas en famille sont pour elle primordiaux, alors pourquoi ne pas y ajouter une touche de couleur !

Bienvenue dans l’univers coloré de Pero, représenté sur des pièces de porcelaine, verre, acier et conçues dans son atelier de Gatineau.

Bon magasinage!

Fêtes et Fanions, pour une fête écoresponsable tout en éclats!

Contenu : Outaouais d’abord
Crédit photo : Les Vertuoses

Pourquoi ne pas miser sur une approche écoresponsable, tout en s’amusant et en créant de magnifiques souvenirs? C’est ce qu’avait en tête Marie-Catherine Collin, la femme d’affaires derrière l’entreprise de location d’ensembles thématiques d’anniversaires clé-en-main Fêtes et Fanions.

Face au problème des déchets générés par les anniversaires d’enfants, la fondatrice de l’entreprise créée en 2019 a réussi à conceptualiser des ensembles durable, lavable, réutilisable ou compostable. Génial, n’est-ce pas? Rappelez-vous tout le plastique à jeter ou à mettre au recyclage après une fête d’enfants virevoltants remplis de sucre! 

Et parlant d’ensembles thématiques, il y en a vraiment pour tous les goûts : cowboy-cowgirl, Harry Potter, dinosaurs, chevaliers et dragons, Histoire de jouets, Moana, John Deere, Raiponce ou Pat’Patrouille, pour n’en nommer que quelques-uns. Il faut également mentionner que Mme Collin est la seule à offrir ce type de service complet.

L’entreprise qui compte maintenant quatre années de succès a été lancée par Marie-Catherine Collin, avec l’aide de sa mère qui est bien connue du monde entrepreneurial, Danielle Soucy. Il est donc vrai de dire que Mme Collin a toujours eu la fibre entrepreneuriale.

« J’ai toujours eu envie de lancer mon propre projet ou ma propre entreprise. Ma mère avait lancé Fête en Boîte, une entreprise bien connue en Outaouais, et ce secteur d’activités m’attirait grandement. Après un parcours académique effectué à Montréal, j’ai eu la chance de travailler en hôtellerie mais je ne me sentais pas nécessairement sur mon X. Le domaine environnemental m’intéressait grandement alors j’ai joint l’utile à l’agréable », a souligné la jeune entrepreneur.

Pour l’amour de la création

Marie-Catherine Collin est certainement une passionnée de création. À l’entendre parler de son entreprise, nous pouvons nous imaginer les étoiles dans ses yeux, ainsi que les mille-et-une prochaines thématiques qui pourraient être lancées prochainement.

Mentionnons que la plupart des articles que vous trouverez dans votre ensemble thématique choisi ont été confectionnés par cette dernière.

« J’ai toujours une nouvelle idée en tête et tout m’inspire. Dernièrement, j’étais dans un magasin de décorations pour des achats personnels et j’ai remarqué une décoration en filet de hockey. Je me suis donc lancé dans ce concept. J’adore magasiner les tissus, faire la nappe, confectionner les serviettes de table et tous les accessoires complémentaires », a ajouté Mme Collin.

En plus de suivre les différentes tendances grâce aux réseaux sociaux, Mme Collin s’assure de favoriser l’achat local, en tout temps. Comme cette dernière l’a si bien mentionné : l’imagination est sans fin. 

Malgré la pandémie

Alors que la pandémie mondiale reliée à la COVID-19 a mis une halte aux rassemblements de fêtes ou d’anniversaires, Mme Collin a bien cru devoir mettre son entreprise en «standby», en mars 2020.

Mais après quelques réflexions et pour l’amour des enfants, celle-ci a décidé de se réinventer en offrant des services clé-en-main pour les familles. Après-tout, cette pandémie n’était pas une raison pour ne pas célébrer, au sein de la famille immédiate, l’anniversaire des tout-petits qui peinent déjà à comprendre la situation.

« Nous avons eu espoir, que pour les mois de 2021 les activités reprennent à temps plein. Nous avons reçu quelques annulations, en début de crise, ce qui est totalement compréhensible. Nous misons sur la sécurité des clients avant tout. Notre chiffre d’affaires a diminué un peu et certains moments ont été décourageants mais nous avons fait preuve d’innovation avec nos services clé-en-main pour familles. En temps normal, nous avions l’habitude de procéder à un minimum de trois fêtes par fin de semaine », a spécifié Marie-Catherine Collin.

Une vision à long terme trépidante

Comme mentionné plus tôt, Mme Collin ne manque pas d’idée et jouit d’un esprit très créatif. Plusieurs projets l’attendent, au futur. L’entrepreneur souhaite offrir un service de bar à bonbons, un service de bar à chocolats chauds, des sacs surprises et le service d’installation. Selon elle, la clé du succès demeure l’innovation. 

« Nous voulons devenir la référence pour les soirées thématiques. Le marché ontarien nous intéresse également », a précisé Mme Collin.

À tendance verte

Maintenant que nous sommes de plus en plus encouragés à prioriser un mode de vie sans déchets, l’entreprise Fêtes et Fanions a séduit une grande clientèle, sur tout le territoire de l’Outaouais.

« En 2021, le côté écologique de notre entreprise nous a certainement permis de nous démarquer et de prendre notre envol. Je veux bien croire que tous et toutes avons une meilleure conscience écologique, plus les années avancent. C’est triste de penser que, souvent, après une fête d’enfants, nous mettons tout à la poubelle. Maintenant, les gens sont fiers de dire qu’ils prônent le sans-déchet », a conclu Marie-Catherine Collin.

En 2023, un beau partenariat s’est fait entre Fêtes et Fanions et Le milieu de jeux – Le Rond Point, situé au 170 rue Deveault, dans le secteur Hull (L’ancien Tubes & Jujubes). En louant une salle de fête, vous pouvez choisir un thème, tous plus jolis les uns que les autres, à partir des propositions de Fêtes et Fanions.

En terminant, maintenant que l’entreprise Fêtes et Fanions propose des services clé-en-main sécuritaires et écoresponsables aux familles de l’Outaouais, rappelons-nous que les enfants ont besoin de laisser aller leur imagination et d’être célébrés pour s’épanouir. Offrez un wow! Offrez une thématique de Fêtes et Fanions.

Un virage numérique gagnant pour Bunker45

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Crédit photo : Bunker45

Pour certains, l’expression virage numérique, c’est simplement une expression qui désigne le fait qu’un entrepreneur se lance dans le commerce en ligne, pour accroître la performance de son entreprise. Mais pour Yannic Ouimet, propriétaire de Bunker45, ce fût une toute autre histoire. Le virage numérique lui a ouvert une porte sur l’Amérique du Nord.

En début de pandémie COVID-19, l’entrepreneur âgé dans la mi-quarantaine a pris un moment de réflexion, sachant très bien qu’il devrait se réinventer pour continuer de bien servir sa clientèle. Présentant une vaste offre de modèles réduits, M. Ouimet entendait de plus en plus parler de virage numérique. Et c’est alors qu’il a décidé de faire le saut, sans toutefois être calé en technologie.

« J’ai décidé de lancer mon propre site web muni d’une plateforme transactionnelle, via monpanierdachat.com. Il était important, pour moi, de demeurer indépendant, même si je ne m’y connaissais pas du tout en technologie. C’est avec un peu de débrouillardise et de bonnes intentions que j’ai découvert un nouveau monde et aussi une nouvelle vitrine », a mentionné M. Ouimet.  

D’un océan à l’autre

Alors que l’achat en ligne gagnait en popularité de façon exponentielle, celui qui a pignon sur rue à l’Encan Larose depuis novembre 2018 a réalisé des ventes à Montréal, à Québec, en Colombie-Britannique et à l’Île-du-Prince-Édouard, tout en passant par Dartmouth en Nouvelle-Écosse, depuis son virage numérique.

« Cette décision m’a aussi permise de me faire connaître sur les réseaux sociaux. Le site web transactionnel a commencé à être très achalandé en mi-novembre et j’en suis très heureux. J’ai également une nouvelle clientèle en Ontario », a précisé M. Ouimet.

Questionné au sujet de l’avenir de l’achat en ligne et s’il avait songé à un futur sans comptoir physique, l’entrepreneur n’a pas hésité avant d’offrir une réponse…

« La clientèle de Bunker45 est composée de passionnés de modèles réduits, alors non. Bunker45 est un lieu de prédilection pour de longues discussions sur l’histoire. Nous parlons de voitures, d’avions de chasse, de chars d’assaut… Nous avons une belle relation avec les clients et nous sommes toujours heureux de leur faire découvrir de nouveaux trucs. C’est la beauté des petites entreprises. Nous y trouvons un sentiment d’appartenance, un esprit de communauté », a-t-il souligné d’un ton enjoué.

Une passion qui ne date pas d’hier

M. Ouimet est un passionné des modèles réduits, un vrai. Depuis son plus jeune âge, il bâtit des modèles réduits tout en approfondissant ses connaissances sur l’histoire. Offrez vous une conversation avec Yannic Ouimet et, en quelques minutes, vous en saurez davantage sur les différents modèles de chars d’assaut utilisés durant la deuxième guerre mondiale.

« Je tiens ça de mon père. Il a travaillé durant toute sa carrière pour Transports Canada, à Ottawa. Ensemble, nous faisions des petits soldats de plomb et toutes sortes de modèles mécaniques. J’adore l’histoire. Je me rappelle, je recevais des modèles réduits en cadeau, à chaque fête », a-t-il souligné le sourire aux lèvres.

Pour M. Ouimet, le but premier a toujours été d’œuvrer en tant que propriétaire de Bunker45 à temps-plein. Celui qui œuvrait également chez Figure 8, une boutique sportive d’Ottawa, a fait le grand saut en avril dernier, dans le but de consacrer son temps entièrement à son entreprise.

Celui qui a toujours voulu être son propre patron et qui compte d’ailleurs un cours en entrepreneuriat de Compétences Outaouais sous la cravate souhaite offrir des ateliers, éventuellement.

« C’est dans mes plans, d’offrir des ateliers d’airbrush, de peinture et de collage. Cela me permettra de diversifier mon offre. Il me ferait plaisir de transmettre ma passion, en tant qu’entrepreneur. Il n’y a pas d’âge, pour être un mordu des modèles réduits. Je suis d’ailleurs un fier membre du Club M&M (Maniaque du Miniatures) et nous accueillons constamment des membres de tous âges. »

D’ailleurs l’entreprise qui se situe toujours à L’Encan Larose a également changé de locaux, en mai dernier, pour obtenir une plus grande surface. Il faut dire que l’inventaire grandissant de Bunker45 a certainement poussé l’entrepreneur à prioriser ce changement. L’entreprise est dorénavant ouverte six jours par semaine.

Offrant plus de six-cent articles en succursale et en ligne, Bunker45 est un magasin de hobby spécialisé en modèles réduits. Vous trouverez tout au même endroit, outils et peinture inclus… Et vous en apprendrez certainement sur l’histoire.